Voici quelques articles de divers pièces de théâtre ou émissions TV, ainsi que le solo de « L'insaisissable Mr Crampon ».
Les quatres comédiens jouent leurs partitions avec talent. On retient notamment la force comique de Ludovic Pinette – aussi convaincant en barman homosexuel qu’en voisin vicieux et borné. Ce qui n’empêche pas les autres de rayonner. Et de montrer qu’il n’est pas nécessaire pour un mariage d’être pluvieux pour être heureux.
- Le 75020.fr (à propos des «Noces» drôles et émouvantes au Théâtre de Belleville)
« Il à la tête de Tintin, le costard cravate d’un représentant de commerce et la gestuelle d’un personnage de dessin animé. Ce drole de zébre s’appelle Bernard et revisite, en une minute chrono, les objets cultes des années 80. Cette série de spots s’inscrit dans la programmation estivale d’Arte, Summer of the 80s. À l’écran, Ludovic Pinette (alias Bernard) devient chèvre, aux prises avec un Rubik’s Cube, des rollers, un airbag… tandis qu’une voix off rappelle l’origine de ces produits. Comédien de théâtre, de cinema et de télévision, ce père de trois enfants a une prédilection pour le court-métrage. Dans sa dernière création, il est employé de bureau qui cogite aux toilettes. Drôle et inspiré. » Emilia VAILLANT
- Télé 7 Jours (à propos du personnage de Bernard sur ARTE : l'Objet du Délire)
« C’est un personnage très attachant que nous allons découvrir ensemble. Un cocktail entre Louis de Funès et Tintin. En fait, c’est un gaffeur en décalage permanent avec la réalité. Un spectacle qui fait voir la vie sans les codes imposés par la société, avec des yeux d’enfants. » Claude CRESPO
- France 2 (à propos de L'insaisissable Mr Crampon, au Théâtre des Blancs-Manteaux)
« Il n’a pas forcement besoin de parler pour déclencher l’hilarité du public. Il parvient à créer un univers très particulier avec une économie de moyen impressionante. Le moindre objet, même le plus anodin comme un banal ticket de métro, peut se transformer en un redoutable accessoire comique. » Cristina MARINO
- Le Monde.fr (à propos de L'insaisissable Mr Crampon)
« Tout droit sorti d’une bande dessinée, il vous emmène dés le début du spectacle dans son délire sans que vous ayez le temps de reprendre votre souffle. Un visage expressif en diable, toujours en mouvement, et une gestuelle parfaitement maîtrisée. Attachant et tellement drôle qu’il vous fait voir la vie avec d’autres yeux. Vous ne le regretterez pas. » Florence RUZE
- Le Parisien (à propos de «Monsieur Crampon» n'en rate pas une.)
« Aimer, avoir aimé, aimer à nouveau… Dans un petit bal perdu, deux couples vont et viennent formant un manège. Le premier est à bout de souffle, le second se forme… Leur seul point commun, un horizon bouché par un avenir incertain. La mise en scène d’Eve Weiss se concentre avant tout sur les acteurs, passeurs de sentiments… Chez Durringer, les silences en disent tout autant que les mots. Caroline Valmont et Laurent Collard jouent avec tendresse la partition du couple fatigué. Anne de Rocquigny et Ludovic Pinette qui partagent l’affiche avec Letti Laubles et Christophe Petit, ont l’avantage d’avoir des personnages plus riches à jouer. Ils sont parfaits de drôlerie mais aussi d’émotion. » Marie-Céline NIVIERE
- Pariscope (à propos de Bal-trap de Xavier DURRINGER)
« Le spectacle va crescendo dans un humour teinté de métaphysique. La scène finale, à elle seule, mérite le déplacement. Un pur moment de bonheur. » MLV.
- TF1 (à propos de L'insaisissable Mr Crampon)
Antoine crampon va déjeuner chez sa mère. Ratant le métro, il se venge sur son ticket qu’il mâchouille tant et si bien que le contrôleur en refuse la validation. L’amende simple aurait été de mise si notre énergumène n’était pas un roi de la provoc dans le seul but de s’amuser, genre sale gosse. Le voilà alors embringué, à force d’épisodes rocambolesques et kafkaïens, dans une histoire qui le conduira en orbite autour de la terre, puisque même Saint-Pierre, exaspéré, se débarrassera illico presto de cet affreux jojo ! Délire gestuelle autant que verbale, ce spectacle mis en scène par Luc Teyssier d’Orfeuil nous laisse pantois devant l’imagination débordante et pertinente de Ludo, et génère émerveillement devant sa maîtrise de chaque instant. Caroline Fabre
- Paris Boum Boum (Toujours à propos de L'insaisissable M. Crampon)